LadyHawke est à l’origine un film fantastique US au scénario farfelu transpirant la love story. Mais c’est aussi le nom de scène de Pip Browne, une néo-zélandaise de 26 ans qui puise une grande partie de son inspiration dans les années 80.
Donc, lorsqu’on tape « LadyHawke » sur Youtube, on a la chance de découvrir non seulement le clip ‘Paris is burning’ mais également celui de la BO du film LadyHawke, dans lequel nous est dévoilé l’amour de Philippe Gaston et Isabeau d’Anjou (alias Matthew Broderick et Michelle Pfeiffer) rendu impossible par leur transformation-malédiction respectives- le premier devient loup à la nuit tombée, tandis que la seconde est faucon la journée (très pratique pour se rencontrer). Pip Browne semble avoir repris ce thème de la transformation au travers de ses clips. Dans l’un, on la voit marcher dans des ruelles, à la fois agressive, désespérée et carrément irréelle. Dans l’autre, on la voit se réveiller en sursaut, entendre des bruits de pas, et finir par danser au milieu de monstres grandguignolesques. Dans un troisième, elle convoque toutes les clés de l’esthétique 80’s- voie lactée en arrière fond, lumière brumeuse, visage auréolé d’une blondeur à la Debbie Harry- pour nous concocter un clip évanescent. Plus que ses clips, ce sont ses refrains qui nous font tourner la tête, et que l’on se surprend à fredonner toute la journée.
Une question reste tout de même en suspens : Pip Browne a-t-elle pris pour pseudo ‘LadyHawke’ en référence à un profond désir de devenir la femme-faucon de l’homme-loup Matthew Broderick qui n’avait pas son pareil pour faire battre son petit cœur ?
Réponse le 09 octobre au Point FMR (Paris), où LadyHawke donne un concert.
ROLLK
Donc, lorsqu’on tape « LadyHawke » sur Youtube, on a la chance de découvrir non seulement le clip ‘Paris is burning’ mais également celui de la BO du film LadyHawke, dans lequel nous est dévoilé l’amour de Philippe Gaston et Isabeau d’Anjou (alias Matthew Broderick et Michelle Pfeiffer) rendu impossible par leur transformation-malédiction respectives- le premier devient loup à la nuit tombée, tandis que la seconde est faucon la journée (très pratique pour se rencontrer). Pip Browne semble avoir repris ce thème de la transformation au travers de ses clips. Dans l’un, on la voit marcher dans des ruelles, à la fois agressive, désespérée et carrément irréelle. Dans l’autre, on la voit se réveiller en sursaut, entendre des bruits de pas, et finir par danser au milieu de monstres grandguignolesques. Dans un troisième, elle convoque toutes les clés de l’esthétique 80’s- voie lactée en arrière fond, lumière brumeuse, visage auréolé d’une blondeur à la Debbie Harry- pour nous concocter un clip évanescent. Plus que ses clips, ce sont ses refrains qui nous font tourner la tête, et que l’on se surprend à fredonner toute la journée.
Une question reste tout de même en suspens : Pip Browne a-t-elle pris pour pseudo ‘LadyHawke’ en référence à un profond désir de devenir la femme-faucon de l’homme-loup Matthew Broderick qui n’avait pas son pareil pour faire battre son petit cœur ?
Réponse le 09 octobre au Point FMR (Paris), où LadyHawke donne un concert.
ROLLK
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